(S)ACRE

Neuf danseuses, trois musiciennes.
Douze femmes dans un espace où la nature sauvage semble refaire surface.

À PROPOS DE (S)ACRE

Le projet est conçu comme un dialogue entre la danse et le vivant, et induit l’analogie entre le rudéral et la lutte des femmes.

Partant de l’oeuvre de Nijinski, Le Sacre du Printemps, (S)acre pose la question essentielle de la présence des femmes, de leur force, face à une domination multiséculaire des hommes.

Prenant le contre-pied de la pièce originelle, cette création fait émerger une communauté de douze interprètes pour montrer non pas une Elue – vierge, sacrifiée – mais des « Elues » qui évoquent la résistance des femmes. Ces femmes incarnent ainsi un groupe de « soeurs » qui survivent malgré la puissance qui s’exerce contre elles.

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Cette résilience qui se noue via cette sororité trouve son écho dans le milieu naturel : là où les femmes sont opprimées par l’homme, la Nature est mise à mal par l’humanité.