(F)AUNE
En nous ramenant aux origines de la civilisation contemporaine, ce solo-performance s’interroge sur une possible rupture avec les origines.
À PROPOS DE (F)AUNE
“Dans sa version de l’œuvre de Nijinski, David Drouard s’attaque au monstre sacré pour revisiter le monstrueux.
Moins une nouvelle interprétation qu’une réinvention libre à partir de ses restes (sa musique, ses thèmes majeurs, son esprit de transgression). Faune ne cherche pas à réactiver la figure du sauvage séducteur, mais à questionner le rapport de l’homme actuel à l’organicitéprimitive.
En nous ramenant aux origines de la civilisation contemporaine, le chorégraphe s’interroge sur une possible rupture avec les origines : l’ère de l’industrie culturelle et de l’hyperconsommation signifie-t-elle la dénaturation de l’humanité ?
Teddy bear ou corps brut, le chorégraphe dessine une voie hybride, d’où relire la mythologie et saisir ce qui fait fond au monde contemporain.” Florian Gaité

